L'info Cerelloise

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CM du 8 janvier 2011- Troisième partie : L'affaire du SIEIL

 

Retranscription de la première partie (cliquer sur le lien)

Retranscription de la deuxième partie (cliquer sur le lien)

 

 L'affaire du SIEIL

Nous voici rendu au dernier épisode, le plus croustillant parce que le plus accrocheur, ne serais-ce que par la nature des intervenants, l’ex contre le nouveau. Enfin nouveau, ça date quand même de plus de 9 mois et si on y ajoute les mois de tractation, ça commence à compter.

Pour comprendre réellement la nature du débat il faut avoir lu la précédente joute oratoire (CR du 30 novembre 2010 (3ème partie). Madame Reille s’estimant attaquée à tord a saisi l’opportunité d’une délibération sur le SIEIL pour contre attaquer.

Quinze minutes d’intense discussion pour apprendre qu’un dossier a été égaré et qu’il suffisait d’en demander une copie au SIEIL pour que tout rentre dans l’ordre. Qu’une délibération a été prise pour effectuer un nouvel audit alors que quelque part ce document attend sagement d’être exploité.

La rage de notre nouvel homme fort l’égare, plutôt que de se satisfaire de son arrivée à la droite du grand chef, il s’entête dans des attaques stériles contre celle qui l’a précédé. Il a une guerre de retard c’était quand il était dans l’opposition qu’il fallait débattre avec tant de hargne.

Nous avons beau compulser nos données, nous ne trouvons pas de trace d’intervention notoire de sa part. Mais peut être que depuis le début il préparait sa reconversion.

Un gros reproche qu’il a assené à notre ex, elle n’aurait rien fait pendant la période où elle régissait la commune. C’est oublier bien vite qu’elle avait l’œil à tout, s’investissait dans tout, rappelez vous en 2009, mis à part le budget, nous n’avions rien trouvé à critiquer. Elle était incontournable, c’est d’ailleurs cela qui l’a conduite à sa perte, à trop faire, elle a fait de l’ombre à notre édile.

Nous ne croyons pas que notre 1er adjoint ait les mêmes libertés d’action. Nous en voulons pour preuve ses silences lorsqu’il s’agit des marchés publics, du PLU et en général pour tous les dossiers complexes qui sont abordés au conseil municipal.

Nous sommes interpellés par ses agressions, quelle peut être la capacité de dialogue lorsque l’on se ferme ainsi à toute réflexion et que l’on refuse de reconnaître les arguments des opposants, quitte à persister dans ses erreurs.

 

Un petit rappel historique :

 - 2009 le budget a été attaqué par messieurs Desvages et Alaphippe ce qui a conduit à une réduction des possibilités d’investissement

- 2010 le budget a été monté en catimini et en tout état de cause sans le concours de la 1ere adjointe dont on préparait son éviction.

- 2011 à venir

Vous voyez bien que les travaux préparés par ses soins ne pouvaient pas être utilement proposés car s’était reconnaître son investissement pour la commune.

Une critique a aussi porté sur l’enfouissement des réseaux rue Reille dans le centre du bourg, on peut être d’accord ou contre, c’est le rôle des conseillers.

Nous rappelons que lorsque cela a été évoqué, fin 2008, au conseil municipal il n’y a pas eu de lever de bouclier de l’opposition et si notre mémoire ne nous fait pas défaut, il y avait à la base de cette opération une notion de sécurité puisque cela était envisagé dans le cadre de la sécurisation du cheminement entre l’école maternelle et la cantine.

Pour ce concerne les ampoules de l’éclairage public, nous voudrions rappeler à notre 1er adjoint qu’une délibération a été prise par le CM le 15 octobre 2009.

Nous avons vérifié, il était là et à voté mais peut être l’a-t-il oublié. En revanche, comme l’échéance était au 15 octobre 2010, où en sommes-nous ?

Rappel de la délibération prise par le CM le 15 octobre 2009

La société ETDE est chargée de la maintenance des points lumineux sur la commune depuis juin 2006 sur la base d’un contrat de 3 ans.

Le Maire demande au CM de l’autoriser à signer un contrat de maintenance d’un an avec la société ETDE sur la base de 123 foyers lumineux pour un coût de 1235 euros HT

Délibération adoptée à l’unanimité

 

Après un retour au calme, le manque de rigueur de cette municipalité est de nouveau mis en exergue :

Puisque le conseil municipal a été obligé de reprendre une délibération incomplète, cette fois-ci c’est pour la piscine. La trésorière de Neuillé ayant refusé de payer la subvention pour cause d’imprécision du compte bénéficiaire.

 

En clôture, monsieur André Desvages a de nouveau parlé de la destruction des livres (évoqué au CM du 30 novembre 2010)

Ils nous avaient été présentés par les adeptes du nettoyage par le vide comme des revues sans intérêt et en très mauvais état.

Ce n’est pourtant pas l’impression que nous donne l’échantillon des bouquins présentés par André Desvages. Certes ils sont d’occasion, mais en parfait état de conservation. Bien sur, ils ne sont peut être pas assez bien pour constituer une bibliothèque chez les bourgeois. En revanche, ils auraient très certainement fait le bonheur de lecteurs aux revenus modestes et voire d’associations caritatives qui œuvrent notamment pour aider les pays francophones.

Le conseil s’est terminé d’une manière confuse, monsieur le Maire débordé ayant jeté l’éponge en déclarant que la discussion très animée qui avait pour objet la destruction des livres était hors conseil.

 Bref circulez il n’y a rien à voir.

 

Retranscription de la troisième partie

 

 Maire : Il y a une autre délibération que nous sommes amenés à prendre, c’est l’autorisation au Maire pour signer les conventions avec la communauté de communes pour la durée du mandat. Parce qu’à chaque fois qu’on fait quelque chose il faut réunir un conseil pour pouvoir, pour que j’ai l’autorisation. La communauté de communes refait une route réunissons le conseil pour pouvoir avoir l’autorisation pour signer la convention avec la communauté de communes, elle refait une  autre petite bricole pour la commune, nouveau conseil pour que le Maire obtienne l’autorisation de signer la convention. Donc c’est uniquement pour que la communauté de communes puisse elle faire des choses et quand elle nous établi la convention que je puisse la signer. Alors qui est pour ?

Monique Reille : J’ai une question à vous poser, quelle est votre obligation si on vous donne l’autorisation de nous communiquer ce que vous allez signez sous convention. Comment  on sait que vous avez signé une convention avec la communauté de communes. C’est une question ?

Maire : Ecoutez, je crois que j’informe le conseil des décisions qui sont prises par le Maire donc chaque fois que je signerai une convention avec la communauté de communes je vous dirais voilà il y a les œufs durs ils viennent de refaire la route, par contre nous allons être obligés de déboucher les canalisations d’eaux pluviales parce qu’ils ne veulent pas refaire la route tant que les canalisation ne seront pas débouchées, en prétendant que s’ils refont la route les canalisations non débouchées ça va esquinter la route, donc je suis obligé de signer une convention avec eux puisque le maitre d’œuvre sera géo plus monsieur Métivier qui fera le nécessaire pour trouver l’entreprise la moins chère, pour déboucher les canalisations, mais je suis obligé de signer une convention. A chaque fois que je signerai une convention, au conseil je vous dirais j’ai signé telle convention à la communauté de communes, voilà.

M.R. : Vous le notez au compte rendu ?

P.L. : Oui, oui.

Maire : Alors qui est pour cette autorisation au Maire ? Qui est contre ?

M.R. : Je suis contre la durée  sur tout le mandat.

Maire : Ecoutez on ne va pas prendre à chaque fois des délibérations

M.R. : Ce n’est pas grave, j’ai dit pourquoi j’étais contre

Maire : Oui, oui,  non, non

P.L. : Qui s’abstient

Maire : Qui s’abstient ?

P.L. : Pour neuf, contre trois, deux abstentions

Délibération adoptée

Maire : Nous avons à approuver les modifications du SIEIL. Le SIEIL bon, il y a tout ça à lire et je n’ai vraiment pas  envie de le lire. Si vous en voulez une copie on vous la fait tout de suite

Moniqu Reille : Oui, oui

Maire : Vous en voulez une copie ? Qui en veut une copie ?

M.R. : Moi

Maire : Est-ce qu’il y en a d’autre ? Vous en avez d’autres ou pas ?

Secrétaire : Inaudible

M.R. :   Il y a des points important sur les nouvelles dispositions du SIEIL   dommage que l’on n’a pas eu une synthèse, enfin bon.

Brouhaha

M.R. : L’élu chargé du SIEIL pourrait faire une synthèse de l’évolution des statuts, enfin bon.

Maire : On va passer au vote pour l’adoption des modifications des statuts du SIEIL. Qui est pour ? Qui est contre ? Qui s’abstient ?

P.L. : Pour onze, contre zéro, abstention quatre.

Délibération adoptée

M.R. : Puisqu’on parle du SIEIL monsieur le Maire, je voudrais vous interrompre. J’espère que vous avez retrouvé l’audit que le SIEIL avait fait pour la commune et qui a fait l’objet d’un attaque personnelle d’un élu, donc je vous ai envoyé un courrier. Donc l’audit vous l’avez retrouvé ?

Maire : J’ai retrouvé, je n’ai pas retrouvé en mairie le bordereau d’envoi de cet audit. Je n’ai rien retrouvé en mairie.

M.R. : L’audit il est là, vous pouvez le demander à qui vous voulez, il existait il était dans votre bureau.

Maire : Aucune trace de transmission de devis

M.R. : Non mais attendez vous le faite exprès ou quoi ? Bon alors maintenant monsieur le Maire

Maire : Est-ce qu’il vous a été remis personnellement ?

M.R. : Mais absolument pas 

Maire : lors d’une commission où vous étiez déléguée

M.R. : Mais absolument pas. Moi j’ai appelé la société SOGREAT et Ils m’ont renvoyée sur le SIEIL. Le représentant du SIEIL m’a dit vous l’avoir remis en main propre. Bon, ça c’est un premier point dont acte, je vous donne le document.

Je voudrais dire à monsieur Macé qu’avant de porter des critiques et des accusations essayez de travailler sur les dossiers, parce que là ça devient pathétique. Vous m’auriez posé la question, je vous aurais dit où c’était. Il y a trois courriers où il y avait un certain nombre de travaux qui avaient été programmés et qui n’ont pas été pris en compte en 2010 dans le budget. Alors s’il vous plait la prochaine fois que vous avez des remarques à faire étayez votre dossier.

David Macé : La dernière fois j’ai fais deux types de remarque. Une cet audit on ne l’avait pas en mairie, on ne l’a toujours pas.

M.R. : Il n’est pas en mairie

D.M. : Il n’est pas en mairie

Laurent Alaphilippe : Il est peut être mal classé

M.R. : Il est certainement mal classé

D.M. : Peut être, peut être. Et de deux je vous ai reproché et je vous reproche encore depuis deux ans de n’avoir rien fait.

M.R. : Qu’est-ce que ça veut dire rien fait ?

D.M. : Mais rien, mais rien

M.R. : Qu’est-ce que ça veut dire

D.M. : Mais rien vous n’avez pas fait une seule

M.R. : deux mille neuf cent dix neuf vingt  

D.M. : Rien, rien à aujourd’hui rien n’a été fait

M.R. : Non mais attendez ne dites pas de bêtises s’il vous plait, il y a la programmation

David Macé : Je ne dis pas de bêtise, dites moi qu’elle ampoule a été dévissée grâce à vous, quelle ampoule a été retirée sur la commune de Cerelles en deux ans

Monique Reille : Mais ce n’est pas le problème des ampoules

David Macé : Ne serait-ce qu’une ampoule par rapport à ça pas, pas une seule en deux ans et demi de temps. C’est ça que je vous reproche par rapport à ça.

Monique Reille : Mais monsieur Macé je n’étais pas chargée de changer les ampoules effectivement

D.M. : de toute façon  Ca encore plus grave, a aujourd’hui si l’audit a été fait     depuis deux ans que vous dites, c’est ça ? A peut près. Expliquez-moi ce qu’est-ce que vous avez fait depuis deux ans, expliquez-moi ? Toutes les autres communes du canton ont bénéficié de subventions.

M.R. : C’est faux, c’est totalement faux.

D.M. : Nous que dalle, rien. C’est ça que je vous reproche.

M.R. : Non mais attendez vous ne connaissez pas les dossiers

D.M. : Vous vous les connaissez peut être bien mais vous n’avez rien mis en application, rien

M.R. : Je vais vous expliquer les dossiers monsieur

D.M. : On n’a pas de problème d’éclairage public à Cerelles, pas du tout

M.R. : Non il n’y en avait pas beaucoup et je vais vous dire

D.M. : Il n’y a pas de problème d’éclairage public à Cerelles

M.R. : Alors

D.M. : Vous vous promenez souvent à Cerelles vous ? 

M.R. : Vous permettez je

D.M. : C’est pour ça que je vous reproche, depuis deux ans

M.R. : vous permettez, vous permettez 

D.M. : depuis deux ans et demi

M.R. : Arrêtez de dire des erreurs

D.M. : Pour l’instant je termine. Depuis deux ans ce qui a de sur, je constate que vous n’avez rien vous connaissez peut être parfaitement le dossier

M.R. : Depuis neuf mois vous n’avez pas fait grand chose

D.M. : Non j’essaie  de reprendre vos dossiers, je ne le retrouve pas justement,

M.R. : Non mais dites donc

D.M. : on est d’accord

M.R. : Non mais ils sont là.

D.M. : Je ne les retrouve pas

M.R. : Monsieur Thomas, monsieur Thomas, je vous ai montré ces dossiers

D.M. : D’accord

M.R. : Souvenez-vous

L.A. : Il ne se souvient plus

M.R. : Alors monsieur Macé, monsieur Macé, monsieur Macé,

D.M. : Ce n’est pas uniquement les ampoules

M.R. : les ampoules ont été changées

Maire : Je ne me souvenais plus

D.M. : Oui, oui

M.R. : Attendez, arrêtez,

D.M. : Oui, oui, Je parle d’ampoules je parle uniquement de modification d’éclairage public

M.R. : Attendez, attendez

D.M. : Vous avez fait quoi réellement, en deux ans de temps vous avez fait quoi madame Reille

M.R. : Voilà, alors vous permettez que je parle

D.M. : Oui je vous en prie

M.R. : Taisez-vous un moment

D.M. : Non, vous n’allez pas me dire de me taire

M.R. : il y a exactement

D.M. : Je fais ce que je veux, vous ne me parlez pas sur ce ton, on est bien d’accord, vous n’êtes pas ma mère vous, vous êtes bien d’accord 

M.R. : Mais vous êtes insultant. Vous ne savez pas ce que vous dites

D.M. : Oui part rapport à vous ça pose aucun problème, croyez moi

M.R. : Bien alors je n’ai rien fait, les ampoules ont été changées

D.M. : Vous n’avez rien fait par rapport au SIEIL, rien, pas une demande de subvention. Que dalle, que dalle.

M.R. : Mais, c’est totalement faut, c’est totalement faux

D.M. : Depuis deux ans et demi, madame Reille, toutes les autres communes

M.R. : C’est totalement faux

D.M. : Je veux dire on est en période des vœux

M.R : Ce n’est pas vrai

D.M. : On est à la période des vœux

M.R. : Vous mentez monsieur

D.M. : j’ai sollicité l’ensemble des communes à aujourd’hui pour les vœux, attendez je ne mens pas, elles ont toutes bénéficié d’un programme d’éclairage public

M.R. : Vous mentez monsieur

D.M. : Elles ont toutes bénéficié sauf nous, c’est lamentable de votre part, c’est tout, je le dis

M.R. : Vous mentez monsieur

D.M. : Je ne mens pas et je réitère

M.R. : Vous mentez monsieur

D.M. : Pourquoi je mens et pourquoi je mentirais

M.R. : Bien sur que vous mentez, il y a deux courriers

D.M. : A aujourd’hui l’audit il n’est pas en mairie ça c’est une certitude et à la mairie on ne le trouve pas.

M.R. : Vous n’aviez qu’à le demander

D.M. : Et la deuxième chose

M.R. : Demandez-le au SIEIL

D.M. : C’est que vous n’avez rien fait, rien fait, il n’y a pas eu un seul éclairage public de proposé en création

M.R. : Alors

D.M. : ou de modification de faite pendant deux ans, c’est tout

M.R. : Alors j’ai un courrier du SIEIL

D.M. : Ca ne m’intéresse pas,

M.R. : Ah ! bien évidemment, bien évidemment

D.M. :   Votre dossier ne m’intéresse pas, votre dossier ne m’intéresse pas parce que de toute façon on ne les trouve pas

M.R. : Mais attendez les courriers sont là

D.M. :. Quand il y a des questions intéressantes de toute façon on ne les trouve pas, ok

M.R. : Les courriers sont là, estampillés

D.M. : Vous savez ce que vous faites, vous m’en faite une copie et vous me les envoyez, ça ira très bien.

M.R. : Alors ça certainement pas, vous n’avez qu’à demander à votre  secrétariat.

D.M. : Alors faite autre chose, gardez vos dossiers

M.R. : Alors maintenant vous arrêtez parce que je ne veux pas me faire entendre dire que je n’ai rien fait.

D.M. : vous n’avez rien fait.

M.R. : Il y a un courrier, nous avons le plaisir de vous confirmer le traitement de votre effacement de réseau du 40 au 68 rue du maréchal Reille.

D.M. : Trouvez-moi

M.R. : J’ai le plaisir de vous confirmer le classement du 68 au 94 de la rue du maréchal Reille       

D.M. : Trouvez-moi le courrier du SIEIL

M.R. : Vous permettez

D.M. : Le courrier du SIEIL qui dit qu’on a vu personne de la commune de Cerelles depuis deux ans, allez me le chercher s’il vous plait.

M.R. : Ecoutez ça n’a rien à voir, vous n’écoutez pas

D.M. : Mais si, mais si, vous étiez notre représentante au SIEIL vous n’y étiez pas une seule fois et il nous l’on écrit

M.R. : Oh là, là, j’avais un suppléant qui n’y allait jamais quand je ne pouvais pas y aller

D.M. : Mais c’était vous la préposée au SIEIL excusez moi

M.R. : Non mais attendez

D.M. : Là hé un

M.R. : Ecoutez moi, monsieur Macé, ça suffit vous allez m’écouter, il y avait deux dossiers

Maire : Ecoutez une seconde madame Reille vous parlez de votre suppléant qui ne vous suppléait pas,

P.L. : Non Jean-Laurent

Maire : c’est très facile de jeter la pierre aux autres, c’est très facile

P.L. : Inaudible Jean-Laurent

M.R. : Alors maintenant monsieur Macé vous allez m’écouter

D.M. : Non, moi j’ai pas envie, j’ai pas envie

M.R : Attendez, non mais attendez

D.M. : A la lumière de ce que vous avez pu faire sur ce dossier là c’est exceptionnel c’est là franchement là croyez moi, ce que je peux ressortir de vous c’est que vous n’avez rien fait,

M.R : Ah parce que vous ne connaissez pas le dossier

D.M. : Ah ben non, non

M.R. : Vous ne connaissez pas le dossier

D.M. : Le votre, je ne peux pas le connaitre vous l’avez sans doute emmené avec vous on ne sait pas où il est.

M.R. : Non mais c’est une plaisanterie, c’est une plaisanterie

D.M. : Mais pas du tout, ce n’est pas une plaisanterie

M.R. : C’est une plaisanterie,  vous vous rendez compte des accusations que vous portez, c’est à la limite de la diffamation ce que vous êtes entrain de dire là

D.M. : Quand vous dites, quand vous dites qu’un incompréhensible qu’il n’y a pas besoin d’éclairage public, prenez la rue de la melonière, ne serait-ce que ça

 M.R. : Je n’ai pas dit que  les rues de Cerelles n’avaient pas besoin d’éclairage

D.M. : Mais si vous venez de le dire, vous venez de le dire

M.R. : Monsieur Macé,

D.M. : Arrêtez de me gonfler

M.R. : Non mais parlez poliment

D.M. : Non par avec vous, pas avec vous

M.R. : Je vais aller jusqu’au bout monsieur le Maire

D.M. : Non pas avec vous, pas avec vous madame

M.R. :   Je vais aller jusqu’au bout monsieur le Maire et ça vous ne pourrez pas dire le contraire parce que vous étiez présent, vous étiez en réunion d’adjoints que je sache, il y avait deux projets d’effacement de réseau pour terminez les effacements de réseaux sur des budgets qui étaient très importants et dans la première année puisqu’il n’y a eu qu’un budget que j’ai géré c’était celui de 2009. Il y avait les chantiers de la rue du maréchal Reille et vous en êtes bien d’accord et nous n’avons pas pu prendre ce genre de dossier, d’accord, vous êtes bien d’accord sur ce budget. A partir de là, les dossiers ils étaient attente au SIEIL. Il y a des copies demandez les au SIEIL Elles datent même de 2008, vous vous rendez compte fin 2008, bon. Alors ne dites pas qu’on n’a pas fait c’était. Ces des dossiers d’importance

Maire : Madame Reille

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : c’était important

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

D.M. : Madame Reille le dossier il est de 2008 c’est ça ? Vous avez lâché le stylo quand ? En avril 2010 ? C’est-ça ? 

Maire : Madame Reille, vous n’avez confié le dossier à personne

D.M. : Le dossier vous dites qu’il est de 2008 et vous avez lâché le stylo en avril 2009, 2010 à peu près. En deux ans de temps vous n’avez pas fait avancer le dossier.

M.R. : Mais c’est complètement faux monsieur

D.M. : vous venez de le dire

M.R. : Je n’ai fait qu’un exercice budgétaire monsieur Macé.

D.M. : Vous venez de le dire,

M.R. : Monsieur Macé

D.M. : vous me faites marrer

M.R. : ces dossiers sont des dossiers d’importance qu’il ne s’agit pas de 

D.M. : vous ne m’intéressez pas madame Reille vous ne m’intéressez franchement pas.

M.R. : Non mais vous portez des accusations

D.M. : Parlez à qui vous voulez mais vous ne m’intéressez franchement pas

M.R. : Mais taisez vous

Maire : Maintenant ça suffit, ça suffit des deux côtés

M.R. : Mais taisez vous, vous portez des accusations extrêmement graves et je vous dis que le dossier

D.M. : de toute façon vous n’avez rien fait en deux an et demi vous n’avez rien fait

Maire : Madame Reille je voudrais répondre, je voudrais répondre à vos lettres

M.R. : Oui, dites le monsieur le Maire qu’il y a eu ces deux projets qu’on n’a pas pu faire en 2009

Maire : Attendez, je réponds à vos deux lettres. Quand ces décisions ont été prises. Bon, enfin  elles n’ont pas été prises on a demandé plus exactement la rue du maréchal Reille de l’église de la rue de Saint Antoine du rocher jusqu’à la croix qu’est ce inaudible

M.R. : Mais ce n’est pas ça du tout

Maire : Non, non,  attendez si on efface un bout de réseau il faut effacer tout le reste, il ne faut pas prendre part petits tronçons

M.R. : Mais si, parce que c’est hors de prix, il y en avait pour cent mille euros déjà et c’est bien la raison

Maire : C’était subventionné à combien

M.R. : Attendez monsieur le Maire

Maire : C’était subventionné à combien ?

M.R. : On arrivait à cent mille euros pour la commune, pourquoi ? Parce quand on a fait un effacement de réseaux électriques, hein d’accord,  ont est obligé de faire l’effacement du réseau de France télécom et si on avait commencé avec votre accord monsieur le Maire on a fait la demande sur la continuité de la rue du maréchal Reille c’est bien pour aller jusque au bout, mais partir du cœur de bourg ou déjà il y avait eu un effacement de réseau et continuer dans une zone qui est particulièrement historique. Qui est cette zone de l’église etc. Alors ne dite pas

D.M. : Inaudible

M.R. : Attendez laissez moi aller jusqu’au bout

D.M. : Allez y, allez y

M.R : Ce sont des projets de cinquante mille euros chacun et c’est bien autre chose que de changer des ampoules qui on par ailleurs été changées

D.M. : Non mais c’est vrai l’enfouissement des réseaux c’est bien une qualité esthétique on est bien d’accord par rapport au village, c’est vrai que c’est prioritaire, sauf que l’éclairage public de Cerelles va tellement bien qu’on a besoin pour l’instant d’enfouir les réseaux

M.R. : Oui mais çà c’est votre problème maintenant, mais monsieur Macé

D.M. : Mais là heureusement  que vous n’avez pas dépensé 100000 euros pour faire des éclairages public uniquement pur enfouir les réseaux dans le bourg parce qu’il

M.R. : Mais monsieur Macé c’est ce que toutes les communes sont entrain de faire inaudible

D.M. : Il y a d’autres rues de la commune qui ont besoin d’être éclairées

M.R. : Inaudible

D.M. : pas uniquement enfouir les réseaux

M.R. : Mais il y a une rue, non, non, mais attendez je ne peux pas me laisser dire des choses pareilles

Maire : Il faut que l’on continue notre conseil

M.R. : vous ne connaissez pas le dossier, vous ne connaissez pas le dossier

D.M. : Inaudible

Maire : Je vous demande un peu de silence. J’ai des informations à vous donner justement sur le SIEIL. Compte tenu que monsieur Ragueneau veut faire son lotissement, le SIEIL est obligé de renforcer le réseau d’électricité

M.R. : Menteur

D.M. : Là par contre je me fais insulter, tu peux noter là je me fais insulter là maintenant

M.R. : Non mais attendez tout à l’heure vous m’avez traité de quoi

D.M. : de rien du tout

P.L. : Inaudible

Maire : Non mais allez ça suffit maintenant tout le monde

M.R. : Vous ne regardez pas les dossiers et après vous dites qu’il n’y a rien de fait.

Maire : Je veux vous informer au niveau du SIEIL. Vous m’écouter, Je veux vous informer au niveau du SIEIL, il y a renforcement de réseau rue du Gué Bolin pour le lotissement à Rageneau. Bon, la somme qui nous est proposée pour ce renforcement, qui sera payée plus tard par Ragueneau pour le renforcement du réseau et de 3400 euros le SIEIL nous accorde une subvention de 70% ce qui nous réduit à 1020 euros HT net. Le renforcement de réseaux pour le lotissement de Ragueneau auquel nous ferons une PDR de façon à ce qu’on récupère les sommes que nous avons mis pour ces voies là.

A.D. : Vous êtes sur que la puissance nécessaire à l’alimentation des nouvelles maisons est suffisante ?

Maire : Oui

A.D. : Parce quand il y a eu

Maire : Oui on a contrôlé et l’eau et le tout à l’égout et l’électricité.

A.D. : Parce que lorsqu’il il y a  eu la tempête et que les lignes se sont écroulées, ils ont fait, la personne qui était là que j’ai suivie toute la matinée  pour trouver les lignes et déconnecter toutes les lignes qui étaient par terre il m’a dit que dans cette région là ils avaient un gros problème parce que le transfo n’était pas assez fort ils ne savaient pas comment ils allaient pouvoir alimenter de ce point de vue là.

Maire : Ecoutez moi je ne suis pas un spécialiste EDF monsieur Desvages

A.D. : Et mon non plus

Maire : Il y a une chose qui est certaine c’est que le gars nous a dit qu’ils vont faire un renforcement de réseau on lui a posé la question de savoir si on pouvait alimenter les onze logements prévus compte tenu que la bande de madame Gibière sera rachetée par Raguenau, il m’a dit pas de problème après le renforcement de réseau

A.D. : Bon ok, mais j’avais une autre information c’est pour ça

Maire : Bon moi je tenais à vous prévenir du coût. Mais nous obtenons quand même une subvention de 70% qui ne va pas nous profiter directement à nous. Elle profitera plutôt à Ragueneau

M.R. : Sur quoi ils se basent, combien de maisons ? On n’a pas encore de projet ?

Maire : Onze maisons enfin de prévues, maintenant je ne sais pas ce que sera le lotissement. Pour l’instant on prévoit. Le cabinet Lecreux prévoit onze maisons avec la bande de terrain de Ribière. Voilà je tenais à vous informer de ça.

Nous avons une délibération à prendre pour la piscine. Je vous explique pourquoi.Nous avons déjà pris une délibération pour attribuer la subvention piscine à l’école malheureusement la trésorière de Neuillé nous dit que nous ne sommes pas suffisamment précis en ce qui concerne le versement de cette subvention. Il ne faut pas préciser uniquement école, il faut préciser que c’est la coopérative de l’école sur tel compte qui percevra la subvention. Donc, quand on a fait le mandat, elle nous a rejeté le mandat pour manque de précision. Donc je vous demande de nouveau de voter pour cette subvention piscine en précisant qu’elle sera versée à la coopérative, voilà. Qui est pour ? Je ne demande pas qui est contre, je ne demande pas les abstentions.

Délibération adoptée

Maire : Bon il y a des informations que je voudrais vous donner pour clore ce conseil, c’est le départ de madame Tricot le 1er juillet après de nombreuses années de bons et loyaux services pour la commune. Elle nous quitte et nous sommes amenés à la remplacer, voilà.

Un deuxième départ c’est celui de monsieur Alaphilippe au CCAS que je regrette vivement compte tenu de toutes les actions qu’il a pu mener au CCAS. Mais sa démission du CCAS est de sa part mais pouvait aussi être celle du conseil compte tenu qu’il a été absent de toutes les réunions programmées

L.A. : Mais ça n’a rien à voir ça.

Maire : en 2010. Mais Si je pourrais très bien vous démissionner c’est le fait que vous soyez absents plus de trois fois.

L.A. : Non.

Maire : Nous avons reçu copie de la Préfecture d’une lettre de la Préfecture  adressée à madame Reille au sujet de la cantine et de l’ALSH. Point c’est tout, je n’en dis pas plus sur la lettre

M.R. : A suivre

Maire : A suivre, on suit

M.R. : Donc il faudrait noter

Maire : Est-ce qu’il y a des questions ?

M.R. : Donc comme il y a un audit et qu’on a pris une décision de faire un audit, excusez moi ça c’est la page de garde, quand je fais des dossiers, je fais des dossiers,  on devrait annuler la délibération pour faire un audit, d’accord ?

A.D. : Vous en payer deux ? On a déjà payé un audit

 Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Vous le mettrez à l’ordre du jour du prochain conseil l’annulation de cette délibération

P.L. : Quand on aura une trace de l’audit pas de problème

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Demandez-le au SIEIL voyons

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

Maire : Est-ce qu’il y a d’autres questions ?

A.D. : Oui, oui, vous aviez, on avait parlé des livres l’autre jour, j’ai vu que vous l’aviez signalé, vous aviez dit qu’ils étaient. Alors j’en ais pris un petit échantillonnage pour vous ramener (Mr Desvages étale les livres en citant les auteurs) la qualité de ces livres. Alors j’ai quand même cherché un petit livre de poche qui d’ailleurs était très bien, très bien fait. Voilà la qualité des livres, ils ont tous leur étiquette que vous avez mis à la poubelle.

Voilà monsieur Fredon. Alors je signale que ça une valeur, il y en avait deux mille paraît-il. Alors il y a des gens qui sont allés dans la poubelle les rechercher, vous auriez pu, le service social aurait pu en profiter. Il y a des communes du département qui ont fait des demandes au moment du téléthon pour récupérer les livres et puis les vendre parce que ça vaut de l’argent. Les bouquinistes à Paris ils les vendent encore cher.

Maire : Figurer vous que j’en ai donné quatre ou cinq mille a une solderie qui se trouve avenue de Gramont, et sur les quatre ou cinq mille on m’a en rendu si vous voulez quatre mille quatre cent quatre-vingt-dix neuf

A.D. : Monsieur les communes du département, attendez c’est quand même pas, Max Gallo la baie des anges c’est etc., ce n’est quand même pas, ce n’est pas des livres, regardez moi ça un peu. Ca ne se jette pas des livres comme ça 

Maire : Mais plus personne n’en veut des vieux livres

A.D. : Mais ce n’est pas vrai monsieur,

Maire : Plus personne n’en veut

A.D. : c’est faux monsieur puisque les gens font de l’argent pour donner au téléthon  

Maire : Ils n’ont aucune valeur

A.D. : C’était dans le journal, c’était dans la nouvelle République encore

Maire : Ca n’a aucune valeur

A.D. : Mais si absolument monsieur

Maire : Ca n’a aucune valeur

A.D. : Absolument monsieur

M.R. : Mais si il n’y a pas qu’à parler de valeur marchande d’un objet

A.D. : Ca ne se fait pas

Maire : la valeur sentimentale

M.R. : Ca n’a rien à voir

A.D. : C’est dommage, c’est dommage,  que l’on n’ait pas notre dénonciateur de nazis là ce soir, parce c’est ce que faisaient les nazis, ils détruisaient des livres pour pas qu’on puisse les lire.

M.R. :   Bon, je vais jusqu’au bout de mon raisonnement, ça a une valeur intellectuelle et vous n’êtes pas sans savoir puisque vous êtes dans le secteur humanitaire à titre personnel

Maire : C’est de là que je parle

M.R. : Qu’il y a une association qui s’appelle bibliothèque, bibliothèque sans frontière qui a fait un appel sur les voix, enfin par voix de presse, par voix de radio pour obtenir des ouvrages en langue Française pour envoyer dans les pays francophones en développement. Je trouve rudement dommage que l’on les ait mis à la benne. Il ne s’agit pas de faire de l’argent, il s’agit quand même de promouvoir la langue française et c’est bien dommage, c’est bien dommage qu’on mette des livres à la poubelle. C’est bien dommage, c’est le bien public

Maire : Il y a tout un tas de particuliers qui en mettent à la poubelle

M.R. : Mais ce n’est pas, nous ne sommes pas dans un endroit particulier

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

L.A. : Nous sommes une collectivité, on ne peut pas se permettre de bazarder des,

C.R. : Mon dieu

L.A. : ben oui madame Rousseau, oh oui, parce qu’elle se cache quand même derrière

A.D. : Vous savez madame, et vous savez madame la dénonciation

L.A. : Au moins vous aurez été condamnée pendant le mandat. Mais à part ça.

A.D. : On n’avait qu’à écrire, on n’avait qu’à écrire

Maire : Pendant le mandat vous avez fait beaucoup vous

L.A. : Ne vous inquiétez pas et ce n’est pas fini, ce n’est pas fini

A.D. : Madame on n’avait  qu’à écrire à la nouvelle République ce jour là et ils venaient, ils prenaient des photos, je vous garanti que l’on parlerait encore de Cerelles, parce que les livres c’est tout. Enfin c’est bon c’est fini, je ne veux pas 

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Je termine ma phrase

C.R. : Pardon

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

A.D. : C’est des livres que j’ai récupéré, moi je vais les lire

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

C.R. : Qu’est-ce que vous dites

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Non, non monsieur je fini ma phrase, parce que j’avais une phrase, comme on n’est pas particuliers, ça nous regarde pas monsieur le Maire, mais

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

Maire : Ca de toute façon je clos le conseil parce que ça c’est hors conseil

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Dernier point, vous permettez je vais jusqu’au bout de ma phrase, dans une collectivité

Maire : Ce n’est pas fini, je vous écoute

L.A. : Vous vous en foutez vous n’y comprenez rien

C.R. : Mais oui, mai oui

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Dans une collectivité.

L.A. : Je ne sais pas pourquoi vous êtes autour de la table, franchement

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

C.R. : Vous êtes là uniquement pour embêter

L.A. : Mais vous à part de voter oui, je ne sais pas trop ce que vous faite parce que depuis les premiers conseils je ne vous vois pas trop avancer des arguments honnêtement même qu’ils soient contre ou pour, ce n’est pas le problème

P.L. : C’est quoi cette histoire, c’est quoi cette histoire

L.A. : ce n’est pas votre problème vous,

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Vous permettez que j’aille jusqu’au bout

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

P.L. : Elle vote oui et alors

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

L.A. : Oui elle peut voter oui, nous on explique pourquoi, on explique pourquoi

P.L. : Elle vote oui et alors quel est le problème ?

L.A. : Oui elle peut voter oui, il n’y a pas de problème

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

P.L. : C’est ça la démocratie normalement, la démocratie c’est l’expression de la majorité 

L.A. : Non, non ; moi je n’emploie pas ce terme là, ça n’a rien à voir, parce que moi je ne suis pas de ceux inaudible

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

M.R. : Vous permettez que j’aille jusqu’au bout de ma phrase quand on est dans une collectivité, restez assis, restez poli monsieur Macé. On est dans une collectivité qui a des biens et normalement on ne peut pas faire, c’est assez embêtant

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

L.A. : Mais ne vous fatiguez vous pas, ça ne vaut pas la peine, ils n’écoutent pas.

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

A.D. : Vous n’avez pas mis les cartes d’école à la poubelle non plus ?

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

 M.R. : Ne donnez pas de leçon de morale s’il vous plait. Ne donnez pas de leçon de morale

Brouhaha ne permettant pas une retranscription honnête.

A.D. : Et en plus c’est des beaux livres, arrêtez, c’est dramatique

L.A. : Vous prenez ma défense, mais ce n’est pas moi qui ai jeté les livres

C.R. :   Inaudible  quand même

L.A. : Oh je n’ai pas besoin de votre sollicitude

??? : Quelle prétention

L.A. : Je n’ai pas de problème, à bientôt l’histoire n’est pas finie.

Sortie de la salle et fin de la retranscription.

 

Retranscription de la première partie (cliquer sur le lien)

 

Retranscription de la deuxième partie (cliquer sur le lien)

 

 

 

 

 

 

 

 



21/02/2013
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